samedi 14 janvier 2012

BARILOCHE


Et un pays de plus !

Nous avons quitté le Chili pour l’Argentine et sa station de sport d’hiver, Bariloche !
Première impression : les argentins « chochotent »… Ils placent des « ch » partout ! A la place de leur « ll » ou encore du  « y ». C’est une question d’habitude.

Nous arrivons vers 21 heures et ce qui nous semblait ne pas être nécessaire, c’est avéré l’être : il fallait réserver ! Et oui, nous sommes en pleine saison, au début des vacances d’été argentines et beaucoup de gens viennent s’aérer dans cette ville au cœur de la Patagonie. Du coup, les quelques auberges que nous essayons, nous annoncent complet à chaque fois ou alors « mañana ». Nous avons finalement trouvé un petit hôtel sans prétention où les hôtes semblent « un peu bêta » mais s’avèrent « très gentils ».

Etant en montagne, et bien, randonnées dans le parc national sont au programme !
Mais le temps ne nous le permet pas le premier jour (vent et pluie), du coup visite de la ville.

 

Bariloche pourrait ressembler à Megève, mais au bord d’un immense lac. La ville est remplie de magasins de vêtements de sports d’hiver, de chocolateries et de restos (on trouve même de la fondue). L’ambiance y est plutôt calme. Nous en profitons pour enfin manger de vraies empanadas, sorte de petites calzones pour les profanes (rien avoir avec celles du chili, celles-ci se mangent sans faim !)


Le soleil de retour, nous partons  « caminando » à la découverte des différents points de vue de la région. 3 au total offrant chacun un angle différent sur les Andes, les lacs et le parc !





Le CAMPANARIO est classé par le National géographique comme l’une des 10 plus belles vues du monde (selon les dires de Clément). Ok on lui fait confiance et on va voir… A noter, que pour la première fois du voyage, nous crapahutons sans guide de voyage. Il est vrai que la vue n’est pas mal ! Top 3 du p’déj !




Nous visitons également la maison d’Otto Mieling, pionner de la Patagonie (allemand, arrivé dès 1929, et il faut voir les équipements de l’époque). 


Chouffe la ma-chette, sur le trottoir d"en face...ca y est c'est elle......( dédicace aux fans et surtout à Klem)

Quelques empanadas se passent et nous décidons finalement d’aller plus loin que prévu dans la découverte de l’Argentine, même si les transports coûtent affreusement chers (tu as raison Popo, l’Argentine n’est plus celle d’il y a 4ans) et sont atrocement longs (18h pour rejoindre Mendoza)

Nous (et nos pieds! ah Nanou encore un matin où tu vas avoir le sourire:)) arrivons à Mendoza et retrouvons la bonne chaleur estivale d'un bon 35° (à l'ombre!!).